L'air intérieur concerne différents types d'environnements : l'habitation, le lieu de travail, le moyen de transport (transport en commun, voiture).

La qualité de l'air intérieur dépend de nombreux paramètres et sont explicités dans notre site aux pages suivantes : 

Plusieurs gestes du quotidien peuvent vous aider à améliorer la qualité de l'air intérieur chez vous ou au bureau. 

Plus d'infos également sur le site de l'Observatoire de la Qualité de l'Air Intérieur (OQAI.)

Le chauffage au bois génère des émissions potentiellement importantes de polluants atmosphériques, notamment les particules fines (PM), le monoxyde de carbone (CO), les Composés Organiques Volatils (COV) ou encore les Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP).


En l’état des connaissances actuelles, ces émissions s’avèrent très différentes suivant qu’il s’agisse d’une installation individuelle, collective ou industrielle. De plus, une grande variabilité de performances environnementales et énergétiques existe entre les différentes technologies (appareil Flamme Verte versus appareil ancien).
La qualité du bois utilisé ainsi que son humidité ont également une influence sur les niveaux d’émission.

Airparif n’est pas mandatée pour gérer les nuisances liées à l’utilisation du chauffage au bois et les règlementations afférentes.

Pour plus de renseignements, nous vous invitons à consulter le site de la Direction Régionale et Interdépartementale de l’Environnement et de l’Énergie (DRIEE) Île-de-France.

Plus d'infos : http://biensechaufferaubois.ademe.fr/ et https://www.iledefrance.fr/chauffages
 

Afin de d’obtenir des éléments de réponse relatifs au port de masque dit "antipollution", nous vous invitons à consulter les publications récentes de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire alimentation, environnement, travail (ANSES) suivantes : 

- L’actualité « Masques dits "antipollution" : des données insuffisantes pour attester d’un bénéfice sanitaire et recommander leur utilisation"  

- L’avis et le rapport d’expertise collective intitulés "Évaluation du bénéfice sanitaire attendu de dispositifs respiratoires dit antipollution "

Vous pouvez également vous rapprocher des organismes compétents sur les effets sanitaires de la pollution, tels que l’Observatoire Régional de la Santé ou l’Agence Régionale de la Santé.

Notre atmosphère se compose à 78% d'azote, à 21% d'oxygène et à 1% de gaz dits rares (argon, néon et hélium, notamment). A ces gaz s'ajoutent d'autres composés (gaz et particules) considérés comme des polluants lorsqu'ils présentent une gêne ou un risque pour la santé et l'environnement.

Rendez-vous sur notre page Polluants de l'air pour savoir plus.