0

Haut de page

des émissions

de PM10 et PM2.5

%

des émissions de NOx

%

En 2021 le trafic routier en Ile-de-France, c'est :

L’inventaire des émissions réalisé par Airparif permet ainsi d’identifier les sources et

quantités de polluants émis en Île-de-France, leur répartition géographique et

leur évolution dans le temps.

L’exposition à la pollution de l’air augmente les risques

de développer ou d’aggraver de nombreuses pathologies :

cancers, diabète et maladies liées au système cardiovasculaire, comme les AVC, ou respiratoire, comme l’asthme.

 

 

7 900 décès prématurés liés à la pollution de l'air sont ainsi estimés chaque année en Île-de-France.

 

 

Si la qualité de l'air s'améliore en Île-de-France et dans la Métropole du Grand Paris, avec des niveaux de particules (PM10 et PM2.5) respectant les limites réglementaires actuelles, la nouvelle directive européenne publiée le 20 novembre 2024 abaisse significativement les seuils limite.

 

 

 

Nombre de Franciliens sont

aujourd’hui exposés à des niveaux

de polluants de l’air dépassant la valeur

limite réglementaire actuelle pour le dioxyde d’azote(NO2).

Les valeurs limites réglementaires d’exposition aux polluants

atmosphériques qui s’imposeront d’ici 2030 ont en outre été

abaissées par une récente législation européenne.

 

Or, selon les études menées par Airparif, on sait que

le trafic routier demeure l’une des principales sources

de pollution de l’air en Île-de-France.

Demain, c’est en conséquence

1,5 M de Franciliens qui seront exposés

à des seuils de NO2 dépassant

les nouvelles normes.

Ces nouvelles valeurs réglementaires des polluants de l’air aux niveaux européen et français, valeurs qui s’imposent au plus tard au 1er janvier 2030, ont été fixées afin de se rapprocher des seuils recommandés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Lire notre dossier santé

L’amélioration

de la qualité de l'air :

un enjeu de santé publique

Qui dit enjeu de santé publique dit enjeu économique :

le recours aux soins a un coût.

 

 

La pollution de l'air coûterait 3,5 milliards par an à Paris, soit 1 602 par an par habitant (source CE Delft, octobre 2020).

un enjeu économique

Dans la Métropole du Grand Paris, il s'agit d'une zone à faibles émissions mobilité (ZFE-m) dont le principe est simple :

limiter la circulation des véhicules les plus polluants dans

un périmètre défini, selon leurs émissions de polluants

déterminées grâce à la classification Crit’Air.

 

Depuis 2019, la mise en place de ZFE est obligatoire dans les grandes

agglomérations de plus de 150 000 habitants si les niveaux dans l’air

des principaux polluants du trafic routier (NO2, PM10 et PM2.5)

sont supérieurs de manière régulière aux limites fixées par l’Union

européenne, conformément à la loi sur l’orientation des mobilités

(dite loi LOM).

 

La circulation dans une ZFE (ou lorsque le préfet instaure

la circulation différenciée lors des épisodes de pollution)

dépend d’un certificat qualité de l'air dite vignette Crit’Air.

La ZFE :

qu’est-ce que c’est ?

Tout savoir

sur la vignette Crit’Air

Une solution déjà éprouvée

En agissant sur le trafic routier, ce n’est pas seulement la qualité de l'air qui est améliorée, mais avec elle

le confort de vie des habitants : moins de bruit,

moins de trafic, une circulation plus fluide

avec une offre de transports diversifiée

qui encouragel’utilisation de mobilités

douces et des transports en commun.

 

La ZFE, une mesure bénéfique

pour l’environnement

et la qualité de vie

 

La mise en place de ces zones vise à réduire les impacts du trafic routier sur la qualité de l'air :

 

 

en accélérant le renouvellement du parc de véhicules les plus anciens, grâce à des incitations financières à l’achat d’un véhicule plus récent et moins émetteur,et au développement d’infrastructures comme la création de bornes de recharge pour véhicules électriques

 

 

en encourageant au report vers d’autres moyens de transport

plus vertueux (vélo, transports en commun, covoiturage).

 

 

Si la ZFE soulève des enjeux de mobilité professionnelle

et sociaux, elle est avant tout l’une des mesures les plus

efficaces pour réduire les émissions d’oxydes d’azote liées

au trafic routier.

 

La ZFE, un levier essentiel à l’amélioration

de la qualité de l’air

 

 

 

ZFE et qualité

de l’air, quel impact ?

MÉTROPOLE DU GRAND PARIS

En Île-de-France,

la ZFE s’étend sur

le périmètre intérieur

à l’autoroute A86.

Elle est mise en place par

la Métropole du Grand Paris.

PARIS

77 COMMUNES

CONCERNÉES

PAR LA ZFE, SOIT

5,61 MILLIONS D’HABITANTS

Interdiction de circulation dans la ZFE

métropolitaine aux Crit’Air 3

2025

Interdiction de circulation dans la ZFE

métropolitaine aux Crit’Air 4

2021

Extension de l’interdiction à la Métropole du Grand Paris

dans le périmètre intérieur à l’autoroute A86

2019

Interdiction de circulation des véhicules Crit’Air 5

et non classés dans Paris intra-muros.

2017

ZFE Métropole

du Grand Paris :

quels bénéfices acquis et attendus ?

“ Avec mes collègues, nous réalisons des études d’impact de chaque nouvelle étape sur

les émissions et les concentrations des polluants atmosphériques les plus importants en

Île-de-France, ainsi que sur les co-bénéfices

pour le climat.”

 

 

Elizabeth Fu 

Ingénieure d’études

au service Etudes d’Airparif.

 

Les bénéfices acquis :

 

  En 2023, diminution de 42% d’émissions de NOx

par rapport à 2017. Sans la mise en place

de la ZFE, cette baisse n’aurait été que de 36%.

 

• Diminution du nombre de véhicules particuliers

« diesel », plus émetteurs de polluants que

les véhicules essence.

 

• Augmentation significative des véhicules Crit’Air 1

depuis la mise en place de la 2e étape.

Étapes 

 1& 2

Les bénéfices attendus :

 

Sans mise en œuvre de la nouvelle étape, de nombreux habitants au sein

de la ZFE seraient exposés à des valeurs dépassant les seuils limites arrêtés

pour 2030.

 

 

Étape 

Des actions complémentaires restent néanmoins nécessaires, y compris sur d’autres secteurs émetteurs que le trafic routier, pour faire baisser les niveaux de dioxyde d'azote et de particules afin de respecter les seuils réglementaires, les futures valeurs limites 2030 et les recommandations de l’OMS.

 3

Plus spécifiquement, la mise en place de l'étape 3  permettrait  :

Effet vertueux de la ZFE, elle aurait également un impact plus large : l'accélération du renouvellement du parc  de véhicules contribue à l’amélioration de la qualité de l’air et de la qualité de vie bien au-delà

de son périmètre.

 

2 fois moins d’établissements recevant du public dit sensible (crèche, écoles, hôpitaux, EHPAD) et centres sportifs exposés à des niveaux élevés de pollution.

 

une réduction de  2,2 %  du nombre de décès prématurés dues à la pollution   de l’air et de 5,2% de celui des nouveaux cas d’asthmes chez l’enfant.

PM2.5

 

-30 000

sur 90 000

 

habitants

potentiellement

exposés en l’absence d’étape 3

PM10

 

-10 000

sur 35 000

 

habitants

potentiellement

exposés en l’absence d’étape 3

NO2

 

-700 000

sur 1,5 M

 

d'habitants

potentiellement

exposés en l’absence d’étape 3

Inversement, grâce à la mise en place de l’étape 3, le nombre d'habitants au sein de la ZFE qui éviteraient d'être exposés à des niveaux de pollution dépassant les valeurs limites de 2030 serait de :

En savoir + sur la mission d’accompagnement d’Airparif

Quel est le rôle d’Airparif en lien avec la ZFE métropolitaine ?

métropolitaine

émissions

à faibles

La zone

au service de la qualité de l’air

Nombre

de Franciliens

sont aujourd’hui

exposés à des niveaux

de polluants de l’air dépassant

la valeur limite réglementaire actuelle

pour le dioxyde d’azote(NO2).

Les valeurs limites réglementaires d’exposition aux polluants atmosphériques qui s’imposeront

d’ici 2030 ont en outre été abaissées par une récente législation européenne.

 

Or, selon les études menées par

Airparif, on sait que le trafic routier

demeure l’une des principales sources

de pollution de l’air en Île-de-France.

L’inventaire des émissions réalisé

par Airparif permet ainsi d’identifier

les sources et quantités de polluants émis en Île-de-France, leur répartition géographique et leur évolution dans

le temps.

En 2021 le trafic routier

en Ile-de-France, c'est :

des émissions de PM10 et PM2.5

16%

des émissions de NOx

47%

L’amélioration de la qualité de l'air : un enjeu de santé publique

7 900 décès prématurés liés à la pollution

de l'air sont ainsi estimés chaque année

en Île-de-France.

Demain, c’est en conséquence 1,5 M de Franciliens qui seront exposés à des seuils de NO2 dépassant les nouvelles normes.

Si la qualité de l'air s'améliore en Île-de-France et dans la Métropole du Grand Paris, avec des niveaux de particules (PM10 et PM2.5) respectant les limites réglementaires actuelles,

la nouvelle directive européenne du 20 novembre 2024 abaisse significativement les seuils limite.

L’exposition à la pollution de l’air augmente les risques de développer ou d’aggraver de nombreuses pathologies :

cancers, diabète et maladies liées au système cardiovasculaire, comme les AVC, ou respiratoire, comme l’asthme.

Lire notre dossier santé

Ces nouvelles valeurs réglementaires des polluants de l’air aux niveaux européen et français, valeurs qui s’imposent au plus tard

au 1er janvier 2030, ont été fixées afin de

se rapprocher des seuils recommandés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

un enjeu économique

Qui dit enjeu de santé publique dit enjeu économique : le recours aux soins a un coût.

La pollution de l'air coûterait

3,5 milliards par an à Paris,

soit 1 602 par an par habitant (source CE Delft, octobre 2020).

Dans la Métropole du Grand Paris,

il s'agit d'une zone à faibles émissions mobilité (ZFE-m) dont le principe

est simple : limiter la circulation

des véhicules les plus polluants dansun périmètre défini, selon leurs émissions de polluants déterminées grâce à la classification Crit’Air.

Depuis 2019, la mise en place de ZFE est obligatoire dans les grandes agglomérations

de plus de 150 000 habitants si les niveaux dans l’air des principaux polluants du trafic routier

(NO2, PM10 et PM2.5) sont supérieurs de manière régulière aux limites fixées par l’Union européenne, conformément à la loi sur l’orientation des mobilités(dite loi LOM).

La circulation dans une ZFE (ou lorsque le préfet instaure la circulation différenciée lors des épisodes de pollution) dépend d’un certificat qualité de l'air dite vignette Crit’Air.

Tout savoir

sur la vignette Crit’Air

La ZFE : qu’est-ce que c’est ?

ZFE et qualité de l’air, quel impact ?

Si la ZFE soulève des enjeux de mobilité professionnelle et sociaux, elle est avant tout l’une des mesures les plus efficaces pour réduire les émissions d’oxydes d’azote liées au trafic routier.

La ZFE, un levier essentiel

à l’amélioration de la qualité de l’air

en accélérant le renouvellement du parc

de véhicules les plus anciens, grâce à des incitations financières à l’achat d’un véhicule plus récent et moins émetteur, et au développement d’infrastructures comme

la création de bornes de recharge pour véhicules électriques

 

en encourageant au report vers d’autres moyens de transport plus vertueux

(vélo, transports en commun, covoiturage).

La mise en place de ces zones vise à réduire les impacts du trafic routier sur la qualité de l'air :

La ZFE, une mesure bénéfique pour l’environnement

et la qualité de vie

En agissant sur le trafic routier, ce n’est pas seulement la qualité de l'air qui est améliorée,

mais avec elle le confort de vie des habitants :

moins de bruit, moins de trafic, une circulation

plus fluide avec une offre de transports diversifiée qui encourage l’utilisation de mobilités douces

et des transports en commun.

Une solution

déjà éprouvée

En Île-de-France,

la ZFE s’étend sur

le périmètre intérieur

à l’autoroute A86.

Elle est mise en place

par la Métropole

du Grand Paris.

PARIS

77 COMMUNES CONCERNÉES PAR LA ZFE, SOIT 5,61 MILLIONS D’HABITANTS

Interdiction de circulation dans la ZFEmétropolitaine aux Crit’Air 3

2025

Interdiction de circulation dans la ZFE métropolitaine aux Crit’Air 4

2021

Extension de l’interdiction à la Métropole du Grand Paris dans le périmètre intérieur à l’autoroute A86

2019

Interdiction de circulation des véhicules Crit’Air 5 et non classés dans Paris

intra-muros.

2017

Quel est le rôle d’Airparif en lien avec la ZFE métropolitaine ?

“ Avec mes collègues, nous réalisons des études d’impact

de chaque nouvelle étape sur

les émissions et les concentrations des polluants atmosphériques

les plus importants en Île-de-France, ainsi que sur les co-bénéfices

pour le climat.”

En savoir + sur la mission d’accompagnement d’Airparif

Elizabeth Fu

Ingénieure d’études

au service Etudes d’Airparif.

ZFE Métropole du Grand Paris : quels bénéfices acquis et attendus ?

Étapes

1& 2

Les bénéfices acquis :

• En 2023, diminution de 42% d’émissions

de NOx par rapport à 2017. Sans la mise

en place de la ZFE, cette baisse n’aurait

été que de 36%.

 

Diminution du nombre de véhicules

particuliers « diesel », plus émetteurs de

polluants que les véhicules essence.

 

Augmentation significative des véhicules

Crit’Air 1depuis la mise en place de

la 2e étape.

Les bénéfices attendus :

Sans mise en œuvre de la nouvelle étape,

de nombreux habitants au sein de la ZFE seraient exposés à des valeurs dépassant les seuils limites arrêtés pour 2030.

Inversement, grâce à la mise en place

de l’étape 3, le nombre d'habitants au sein

de la ZFE qui éviteraient d'être exposés à

des niveaux de pollution dépassant les valeurs limites de 2030 serait de :

Étape

3

habitants potentiellement

exposés en l’absence

d’étape 3

-700 000

sur 1,5 M

NO2

habitants potentiellement

exposés en l’absence

d’étape 3

habitants potentiellement

exposés en l’absence

d’étape 3

-30 000

-10 000

sur 90 000

sur 35 000

PM2,5

PM10

Plus spécifiquement, la mise en place de l'étape 3 permettrait :

2 fois moins d’établissements recevant du

public dit sensible (crèche, écoles, hôpitaux,

EHPAD) et centres sportifs exposés à des niveaux

élevés de pollution.

une réduction de  2,2 %  du nombre de

décès prématurés dues à la pollution

de l’air et de 5,2% de celui des nouveaux

cas d’asthmes chez l’enfant.

Effet vertueux de la ZFE, elle aurait également

un impact plus large : l'accélération

du renouvellement du parc  de véhicules

contribue à l’amélioration de la qualité

de l’air et de la qualité de vie bien au-delà

de son périmètre.

Des actions complémentaires

restent néanmoins nécessaires,

y compris sur d’autres secteurs

émetteurs que le trafic routier,

pour faire baisser les niveaux

de dioxyde d'azote et

de particules afin de respecter

les seuils réglementaires,

les futures valeurs limites 2030

et les recommandations

de l’OMS.

Haut de page