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des émissions
de PM10 et PM2.5
%
des émissions de NOx
%
L’inventaire des émissions réalisé par Airparif permet ainsi d’identifier les sources et
quantités de polluants émis en Île-de-France, leur répartition géographique et
leur évolution dans le temps.
L’exposition à la pollution de l’air augmente les risques
de développer ou d’aggraver de nombreuses pathologies :
cancers, diabète et maladies liées au système cardiovasculaire, comme les AVC, ou respiratoire, comme l’asthme.
7 900 décès prématurés liés à la pollution de l'air sont ainsi estimés chaque année en Île-de-France.
Nombre de Franciliens sont
aujourd’hui exposés à des niveaux
de polluants de l’air dépassant la valeur
limite réglementaire actuelle pour le dioxyde d’azote(NO2).
Les valeurs limites réglementaires d’exposition aux polluants
atmosphériques qui s’imposeront d’ici 2030 ont en outre été
abaissées par une récente législation européenne.
Or, selon les études menées par Airparif, on sait que
le trafic routier demeure l’une des principales sources
de pollution de l’air en Île-de-France.
Demain, c’est en conséquence
1,5 M de Franciliens qui seront exposés
à des seuils de NO2 dépassant
les nouvelles normes.
Lire notre dossier santé
L’amélioration
de la qualité de l'air :
un enjeu de santé publique
Qui dit enjeu de santé publique dit enjeu économique :
le recours aux soins a un coût.
La pollution de l'air coûterait 3,5 milliards € par an à Paris, soit 1 602€ par an par habitant (source CE Delft, octobre 2020).
un enjeu économique
La ZFE :
qu’est-ce que c’est ?
Tout savoir
sur la vignette Crit’Air
Une solution déjà éprouvée
En agissant sur le trafic routier, ce n’est pas seulement la qualité de l'air qui est améliorée, mais avec elle
le confort de vie des habitants : moins de bruit,
moins de trafic, une circulation plus fluide
avec une offre de transports diversifiée
qui encouragel’utilisation de mobilités
douces et des transports en commun.
La ZFE, une mesure bénéfique
pour l’environnement
et la qualité de vie
La mise en place de ces zones vise à réduire les impacts du trafic routier sur la qualité de l'air :
• en accélérant le renouvellement du parc de véhicules les plus anciens, grâce à des incitations financières à l’achat d’un véhicule plus récent et moins émetteur,et au développement d’infrastructures comme la création de bornes de recharge pour véhicules électriques
• en encourageant au report vers d’autres moyens de transport
plus vertueux (vélo, transports en commun, covoiturage).
Si la ZFE soulève des enjeux de mobilité professionnelle
et sociaux, elle est avant tout l’une des mesures les plus
efficaces pour réduire les émissions d’oxydes d’azote liées
au trafic routier.
La ZFE, un levier essentiel à l’amélioration
de la qualité de l’air
ZFE et qualité
de l’air, quel impact ?
MÉTROPOLE DU GRAND PARIS
En Île-de-France,
la ZFE s’étend sur
le périmètre intérieur
à l’autoroute A86.
Elle est mise en place par
la Métropole du Grand Paris.
PARIS
77 COMMUNES
CONCERNÉES
PAR LA ZFE, SOIT
5,61 MILLIONS D’HABITANTS
Interdiction de circulation dans la ZFE
métropolitaine aux Crit’Air 3
2025
Interdiction de circulation dans la ZFE
métropolitaine aux Crit’Air 4
2021
Extension de l’interdiction à la Métropole du Grand Paris
dans le périmètre intérieur à l’autoroute A86
2019
Interdiction de circulation des véhicules Crit’Air 5
et non classés dans Paris intra-muros.
2017
ZFE Métropole
du Grand Paris :
quels bénéfices acquis et attendus ?
Ingénieure d’études
au service Etudes d’Airparif.
Les bénéfices acquis :
Étapes
1& 2
Les bénéfices attendus :
Sans mise en œuvre de la nouvelle étape, de nombreux habitants au sein
de la ZFE seraient exposés à des valeurs dépassant les seuils limites arrêtés
pour 2030.
Étape
Des actions complémentaires restent néanmoins nécessaires, y compris sur d’autres secteurs émetteurs que le trafic routier, pour faire baisser les niveaux de dioxyde d'azote et de particules afin de respecter les seuils réglementaires, les futures valeurs limites 2030 et les recommandations de l’OMS.
3
sur 90 000
sur 35 000
sur 1,5 M
En savoir + sur la mission d’accompagnement d’Airparif
métropolitaine
émissions
à faibles
La zone
au service de la qualité de l’air
Nombre
de Franciliens
sont aujourd’hui
exposés à des niveaux
de polluants de l’air dépassant
la valeur limite réglementaire actuelle
pour le dioxyde d’azote(NO2).
Les valeurs limites réglementaires d’exposition aux polluants atmosphériques qui s’imposeront
d’ici 2030 ont en outre été abaissées par une récente législation européenne.
Or, selon les études menées par
Airparif, on sait que le trafic routier
demeure l’une des principales sources
de pollution de l’air en Île-de-France.
L’inventaire des émissions réalisé
par Airparif permet ainsi d’identifier
les sources et quantités de polluants émis en Île-de-France, leur répartition géographique et leur évolution dans
le temps.
En 2021 le trafic routier
en Ile-de-France, c'est :
des émissions de PM10 et PM2.5
16%
des émissions de NOx
47%
L’amélioration de la qualité de l'air : un enjeu de santé publique
7 900 décès prématurés liés à la pollution
de l'air sont ainsi estimés chaque année
en Île-de-France.
Demain, c’est en conséquence 1,5 M de Franciliens qui seront exposés à des seuils de NO2 dépassant les nouvelles normes.
L’exposition à la pollution de l’air augmente les risques de développer ou d’aggraver de nombreuses pathologies :
cancers, diabète et maladies liées au système cardiovasculaire, comme les AVC, ou respiratoire, comme l’asthme.
Lire notre dossier santé
Ces nouvelles valeurs réglementaires des polluants de l’air aux niveaux européen et français, valeurs qui s’imposent au plus tard
au 1er janvier 2030, ont été fixées afin de
se rapprocher des seuils recommandés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
un enjeu économique
Qui dit enjeu de santé publique dit enjeu économique : le recours aux soins a un coût.
La pollution de l'air coûterait
3,5 milliards € par an à Paris,
soit 1 602€ par an par habitant (source CE Delft, octobre 2020).
Depuis 2019, la mise en place de ZFE est obligatoire dans les grandes agglomérations
de plus de 150 000 habitants si les niveaux dans l’air des principaux polluants du trafic routier
(NO2, PM10 et PM2.5) sont supérieurs de manière régulière aux limites fixées par l’Union européenne, conformément à la loi sur l’orientation des mobilités(dite loi LOM).
La circulation dans une ZFE (ou lorsque le préfet instaure la circulation différenciée lors des épisodes de pollution) dépend d’un certificat qualité de l'air dite vignette Crit’Air.
Tout savoir
sur la vignette Crit’Air
La ZFE : qu’est-ce que c’est ?
ZFE et qualité de l’air, quel impact ?
Si la ZFE soulève des enjeux de mobilité professionnelle et sociaux, elle est avant tout l’une des mesures les plus efficaces pour réduire les émissions d’oxydes d’azote liées au trafic routier.
• en accélérant le renouvellement du parc
de véhicules les plus anciens, grâce à des incitations financières à l’achat d’un véhicule plus récent et moins émetteur, et au développement d’infrastructures comme
la création de bornes de recharge pour véhicules électriques
• en encourageant au report vers d’autres moyens de transport plus vertueux
(vélo, transports en commun, covoiturage).
La mise en place de ces zones vise à réduire les impacts du trafic routier sur la qualité de l'air :
En agissant sur le trafic routier, ce n’est pas seulement la qualité de l'air qui est améliorée,
mais avec elle le confort de vie des habitants :
moins de bruit, moins de trafic, une circulation
plus fluide avec une offre de transports diversifiée qui encourage l’utilisation de mobilités douces
et des transports en commun.
Une solution
déjà éprouvée
PARIS
2025
2021
2019
2017
En savoir + sur la mission d’accompagnement d’Airparif
Elizabeth Fu
Ingénieure d’études
au service Etudes d’Airparif.
Étapes
1& 2
Les bénéfices acquis :
• En 2023, diminution de 42% d’émissions
de NOx par rapport à 2017. Sans la mise
en place de la ZFE, cette baisse n’aurait
été que de 36%.
• Diminution du nombre de véhicules
particuliers « diesel », plus émetteurs de
polluants que les véhicules essence.
• Augmentation significative des véhicules
Crit’Air 1depuis la mise en place de
la 2e étape.
Les bénéfices attendus :
Sans mise en œuvre de la nouvelle étape,
de nombreux habitants au sein de la ZFE seraient exposés à des valeurs dépassant les seuils limites arrêtés pour 2030.
Inversement, grâce à la mise en place
de l’étape 3, le nombre d'habitants au sein
de la ZFE qui éviteraient d'être exposés à
des niveaux de pollution dépassant les valeurs limites de 2030 serait de :
Étape
3
habitants potentiellement
exposés en l’absence
d’étape 3
-700 000
sur 1,5 M
NO2
habitants potentiellement
exposés en l’absence
d’étape 3
habitants potentiellement
exposés en l’absence
d’étape 3
-30 000
-10 000
sur 90 000
sur 35 000
PM2,5
PM10
Plus spécifiquement, la mise en place de l'étape 3 permettrait :
Effet vertueux de la ZFE, elle aurait également
un impact plus large : l'accélération
du renouvellement du parc de véhicules
contribue à l’amélioration de la qualité
de l’air et de la qualité de vie bien au-delà
de son périmètre.
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